Les 9 types de faim : être à l’écoute de notre corps pour comprendre notre appétit

Les 9 types de faim : être à l’écoute de notre corps pour comprendre notre appétit

Hello Prodigieuse Créature !!!

J’espère que tu te portes à merveille et que novembre commence bien pour toi.

Voici pour débuter le mois, un article qui pourra t’aider à prendre conscience de bien des choses concernant ton rapport à l’alimentation et plus particulièrement sur ce que l’on résume un peu rapidement par l’expression « avoir faim ».

On entend souvent parler de différents types d’alimentation : émotionnelle, intuitive, libre, régulée, déréglée, compulsive, végétarienne, flexitarienne…


Pour ma part, après des années d’anorexie (donc d’hypercontrôle et de restriction), j’ai adopté l’alimentation consciente, qui ne repose pas sur des croyances erronées (le gras fait grossir) mais sur l’expérimentation personnelle, l’écoute de soi et la pleine conscience.

Une alimentation sur mesure, tant par mes choix alimentaires (ce que je mange) que par mes comportements alimentaires (comment je mange ? quand ? pour quoi ?)

C’est cette alimentation que je me propose de te transmettre en accompagnement, si cela t’appelle ! N’hésite pas à me contacter, je suis super gentille ^^
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En guise de première étape vers cette alimentation consciente, qui nous amène à nous mettre à l’écoute de ce qui se joue en nous, dans notre rapport à l’alimentation, il est très intéressant de s’initier aux différents types de faim

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Je te propose dans cet article de découvrir et voyager à travers pas moins de 9 types de faim.

Une exploration sensorielle, corporelle, émotionnelle… qui nous concerne tous et nous rappelle que le comportement alimentaire et l’alimentation s’expérimentent, se vivent, s’observent !

C’est de l’humain, du vivant, pas de la théorie ni des injonctions généralistes.

Dans son livre « Manger en pleine conscience », qui nous sert de référence ici, le Dr Jan Chozen Bays détaille ce voyage au coeur de soi.

Pas dans un but de perte de poids mais de gain de joie.

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Remettre de la joie dans notre rapport au corps et à la nourriture, apprendre à apprécier l’acte de manger pour ce qu’il est, pour ce qu’il nous apporte de bénéfique, pour notre vitalité, notre plaisir sont les seules choses qui devraient compter !
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Être dans la présence à soi et l’observation des phénomènes (facultés qu’un sophrologue peut t’apprendre à faire émerger) agit comme un exhausteur de goût au quotidien !
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Apprendre à repérer toutes nos faims nous permet de redevenir expert de notre corps, de nos besoins et envies.
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Ce n’est qu’en reprenant les rênes de notre vie qu’on peut lâcher le contrôle, qui est une bouée de sauvetage, une béquille dont nous sommes dépendants tant que nous sommes fragilisés par nos peurs et nos doutes.

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On parle tellement d’alimentation qu’on a oublié que le rôle de la nourriture n’est pas de répondre à des concepts mais, avant tout, de nous donner de l’énergie (au même titre que boire, dormir, respirer) ! Le Dr Jan Chozen Bays propose de revenir aux fondamentaux en renouant avec nos sensations.

Parce que manger sainement (c’est à dire, de manière juste pour soi) c’est avant tout se mettre à l’écoute du corps.

La faim de l’estomac

La première faim à laquelle nous pensons est celle de l’estomac/ du ventre.

Mais les études montrent qu’on ne doit pas s’y fier aveuglément. Nous avons dicté à notre estomac, par le biais de nos habitudes, quand il doit avoir faim.

Notre faim de l’estomac est conditionnée : les personnes ayant pratiqué le jeûne pourront en témoigner
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Les tiraillements, le « creux », sont présents, mais ne sont pas nécessairement les signaux d’une faim vitale.

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Par exemple, les personnes souffrant de RGO (reflux) confonde souvent l’inconfort au niveau de l’estomac avec la faim, et mangent en pensant atténuer la douleur.
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L’anxiété entraîne cette même méprise. On ressent une boule au niveau de l’estomac que certains d’entre nous soulagent en mangeant (alors que d’autres auront l’estomac noué). A la longue, cela entraîne de la culpabilité qui nourrit l’anxiété, qui titille l’estomac, qu’on remplit à nouveau pour soulager la tension imprimée dans le corps.
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Il est important d’écouter ce que nous disent ces tiraillements qui ne révèlent pas systématiquement la faim, mais peut être de l’angoisse, un blocage au niveau du plexus solaire, un diaphragme comprimé, un estomac en souffrance…


Le réel problème est alors la fatigue, le surmenage, une alimentation mal adaptée, le surentraînement, une respiration contrariée… En tout cas, la solution est rarement la nourriture !


Je tiens ici à bien préciser que cette exploration est une invitation à s’observer pour mieux se comprendre et se connaître, en aucun cas se juger et se contrôler. On est attentif à soi et on accueille ce qui émerge, avec un regard bienveillant et un esprit ouvert, ludique.

La faim de yeux

La faim de l’estomac n’est pas si simple ! Et pour corser l’affaire, elle est gouvernée par la faim… des yeux ! Celle-ci parvient carrément à ordonner à l’esprit d’ignorer les signaux du corps !
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C’est elle qui nous donne envie d’une belle pâtisserie en passant devant la boulangerie 🧁

La vue stimule l’appétit

C’est pour ça que je déconseille d’avoir dans ses abonnements instagram trop de comptes food et de regarder des vidéos « Une journée dans mon assiette » (qui invitent en plus à la comparaison)
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La faim des yeux se comble avec la beauté !

Prenons exemple sur les Japonais qui maîtrisent comme personne l’art de la table !

Sans être aussi systématiquement cérémonieux, prenons le temps d’apprécier visuellement ce que nous mangeons, laissons notre regard s’arrêter un instant, entrons en connexion avec ce qui nous entoure, ici et maintenant🧘🏼

Le repas en pleine conscience est un exercice que l’on pratique en formation MBSR, et je t’assure que même les accros au choco étaient satisfaits après un ou deux carrés ! 🍫
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Laissons la magie jaillir de ce qui nous entoure, en dehors des repas, pour se familiariser avec cet art de vivre qu’est la contemplation.

Si cela te parle mais que tu ne sais pas trop comment faire concrètement, n’hésite pas à me contacter !

La faim des oreilles

Si tu as un chien, tu la connais bien !

A peine touchons-nous au paquet de croquettes que le machin déboule comme un bulldozer ! Chez mon père, nous
avions un American staff et deux Shar-Pei… Je te laisse imaginer le grand moment de la gamelle 🥴
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Nous sommes un peu comme ça, nous aussi : le froissement d’un papier de bonbon peut nous interpeller et susciter une envie.

Perso, c’est le PSCHIIITT de la canette, des bulles ou le ronron de la bouilloire !
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On peut également aimer la croustillance de certains aliments. Leur goût nous satisfait, bien sûr, mais on les mange aussi pour le plaisir de les entendre (les chips 🤪).

Encore une fois, la pub n’a pas laissé passer l’aubaine et a joué sur le son de la Cracotte qui fait crac-crac !

Nos oreilles aiment tellement le craquant que Magnum a dû changer sa recette lorsque les consommateurs se sont plaints de ne plus entendre « le bruit de craquement caractéristique » !😮

Aujourd’hui, prends le temps de développer la conscience de l’ouïe, quand tu te promènes, ou là, tout de suite ! Qu’entends-tu autour de toi ?🎤

La faim du nez

Celle-ci semble assez évidente et je suis certaine qu’en quelques secondes, plusieurs exemples d’odeurs alléchantes te viennent en tête ! 🥘

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Certaines odeurs de bouffe (on ne peut pas dire autrement) ne donnent pas du tout envie, on est d’accord ?
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Mais la bonne odeur de pain frais, de pizza chaude, de chocolat fondu, des tomates du jardin… C’est une autre histoire
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On peut néanmoins observer qu’une odeur qu’on adore ne nous donnera pas forcément envie, selon le moment de la journée. Si on vient juste de petit-déjeuner, l’odeur du gratin de pâtes nous laissera de marbre. En revanche, un soir d’hiver, en rentrant du boulot, les effluves de confort-food sont hyper satisfaisantes !🍝

C’est déjà un grand pas de repérer cela
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Mais on peut aller plus loin en observant que la faim du nez surpasse les autres : sans faim physiologique, une faim du nez peut nous amener à manger au-delà de notre satiété 😕
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Si cela se produit de manière récurrente et douloureuse, il est absolument nécessaire de revenir au corps et à l’observation des sens (et de demander de l’aide 💖)
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Les nerfs olfactifs sont des excroissances du cerveau et l’odorat a permis la survie de nos ancêtres 🤯
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On comprend pourquoi les ont ce puissant pouvoir sur notre faim. D’ailleurs, lorsque nous avons le NEZ BOUCHÉ, les aliments perdent leur goût et nous mangeons moins 🤧🤒
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Les saveurs sont essentiellement des odeurs alors quand tu manges : écoute ton nez ! 👃
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Au quotidien, développe la conscience de la faim du nez. Savoure l’odeur des aliments avant de manger, puis au fil des bouchée explore les saveurs, connecte toi aux parfums qui forment ce que nous appelons le goût, à l’inspire et à l’expire. Fais de ce moment un jeu, sois alerte, joyeux et ouvert à la découverte !
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Je suis curieuse de savoir quelles sont les odeurs qui font frétiller ton groin !

La faim de la bouche

Quand on parle de faim, il semble logique et légitime de penser à l’estomac et à la bouche. Mais nous l’avons vu, le nez participe à la création des saveurs !

ALORS QUE SE PASSE-T-IL VRAIMENT DANS NOTRE BOUCHE ?
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La bouche se nourrit de sensations. C’est un organe de désir et de sensualité qui ne demande qu’à être rempli👄
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Et là, si tu as des images en tête🔞, tu assumes, je n’y suis pour rien ! Je pense simplement au bébé que nous avons tous été et qui, à peine sorti du ventre de maman, cherche de quoi téter 👶
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La bouche participe à notre survie, et si tu t’es déjà mordu la langue, tu sais comme elle est sensible 🤬
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Certaines sensations sont agréables : je ne parle pas des saveurs mais des textures
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Certaines personnes compulsent sur les yaourts, la crème glacée ou la pâte à tartiner qui enveloppent le palais. Elles apprécient le goût mais aussi la sensation velouté, rassurante

Mais si nous ne sommes pas conscient des textures sur notre langue, notre palais, sous nos dents, notre bouche s’ennuie et réclame une autre dose😛
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Le problème est que plus notre bouche est stimulée moins elle se satisfait du vide et cela conduit au grignotage
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On associe souvent celui-ci au stress


Mais il se peut aussi que ce soit la faim de la bouche qui nous titille : un besoin non pas de remplir l’esprit ou le cœur mais de stimuler la bouche comme un enfant qui suce son pouce, un adulte qui se ronge les ongles ou fume
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Pour nourrir la faim de ta bouche, un ingrédient est essentiel : la conscience des sensations !

(ba oui, encore !!!)


Quand tu grignotes, demande toi si c’est par ennui, besoin de réconfort ou si tu as besoin de mettre un truc dans ta bouche (c’est une vrai question, j’te jure ! 😅)

La faim du toucher

Comme nous l’avons vu, la bouche est friande de sensations ; les lèvres, la langue, le palais, sont sensibles aux textures, aux goûts ; certains aiment que ça croustille, d’autres que ça pique

Mais la faim du toucher ne se limite pas à la bouche même si l’expérience de manger avec les doigts est toujours plaisante et ludiques


En cours de psychotraumato, nous avons étudié la très cruelle -mais parlante- EXPÉRIENCE DE HARLOW

Ce scientifique a séparé des bébés macaques de leurs mamans, en les plaçant dans des cages dans lesquelles se trouvaient un biberon rempli de lait et une peluche 🍼🧸

Les petits ont ignoré la nourriture pour se lover contre le doudou.

Poussant l’expérience plus loin, Harlow priva es petits de la peluche, leur laissant le biberon… que ces derniers ignorèrent, se laissant mourir de faim 😶

Au-delà des avancées sur la théorie de l’attachement, cette expérience montre aussi que la faim de la peau supplante la faim physiologique

Nous avons besoin de calinoux🤗

Ne pas satisfaire cette faim peut engendrer des pathologies telles que la dysmorphophobie

Inversement, les massages thérapeutiques aident les nourrissons prématurés à reprendre du poids, font baisser le taux de cortisol, de glycémie, stimule la sécrétion d’hormones du bien-être 💕


Nourrir la peau par le toucher contribue à notre santé mentale 😃
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Pour nourrir cette faim, prends conscience des différents types de textures que tu touches au fil de la journée, la douceur d’un plaid, la légèreté d’un vêtement, le moelleux de ta serviette de bain
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Je t’invite aussi à découvrir ta peau, sans jugement pour la forme de ton corps.

Juste ta peau : sa fraîcheur, sa chaleur…

Tu peux simplement entrelacer tes mains, ou poser ta main droite sur l’épaule gauche avec bienveillance. Juste dans l’accueil

La faim des cellules

C’est une faim très subtile, que l’on parvient justement à cerner grâce à la pleine conscience et l’écoute de soi, une faim purement physiologique, qui ne répond pas aux habitudes, ni aux conditionnements ni aux injonctions

Tu l’as sans doute expérimentée par LA SOIF !

Lorsque tu as l’impression d’être desséché, que tu vas tomber raide si tu ne bois pas dans la seconde ! On peut te proposer un chocolat chaud, tu t’en fous ! Tu veux de l’eau, n’est-ce pas ?

La faim des cellules se manifeste de manière flagrante lorsque nous sommes malade ou enceinte : dans ces situations extrêmes, nous parvenons à entendre les signaux de la faim cellulaire et à y répondre quitte à tourner le dos à nos habitudes

Je me souviens d’une faim viscérale de thon en boîte alors que j’étais vegan. Le fait de penser à l’odeur de la conserve me rendait dingue. Rivée à mes convictions, j’ai longtemps lutté contre cette faim, jusqu’à ce que soit détectée une inquiétante carence en fer (je ne dis pas ici que le veganisme conduit aux carences, juste que dans mon cas, cette faim très spécifique et intense était un appel de mes cellules

La faim des cellules est donc satisfaite par les apports justes en éléments essentiels : vitamines, minéraux, macronutriments,…

Avant ton prochain repas, essaye de ressentir de quoi tes cellules ont faim : de liquide, de solide, de chaud, de froid, du salé, de légume, de féculent ? Laisse toi le temps d’entendre ce que ton corps réclame vraiment en cet instant.

Et fuck les meal prep !🤪
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Au milieu du repas, arrête toi et demande toi si tes cellules ont toujours envie de l’aliment que tu manges. Peut-être que tu as encore faim mais d’autre chose !

La faim de l’esprit

La faim de L’ESPRIT, je suis sûre que tu la connais bien !

C’est une faim que l’on alimente à longueur de journée grâce à NOS PENSÉES, elles-mêmes nourries par les injonctions healthy/ minceur/ bikini body


Cette faim adore se/nous prendre la tête et nous pousse à nous poser des questions fondamentales :

Un yaourt ? ok… mais lactose (intolérance) ou soja (oestrogènes) ? Les oeuf ? Protéines ou mauvais cholestérol ? Le saumon ? Gras essentiel ou mercure ? Pain au levain ou sans gluten ? Est-ce que je bois assez ? Je peux manger des glucides le soir ? Si je ne mange pas de dessert, je peux prendre un goûter ? Il me reste trois points WW pour une glace si je ne mange pas de pâtes ce midi ! Jeûne intermittent ou six repas par jour pour booster mon métabolisme
?

Bon… t’as compris ! 😵

Cette faim est suractivée par l’infobésité pseudo-diététique dont on nous abreuve constamment.

Si tu passes beaucoup de temps sur Insta, que tu es familier des régimes, toujours à l’affût de l’astuce qui te fera maigrir en dormant ou prendre du booty miraculeusement, cette faim doit te harceler constamment🤯
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Que l’on soit soucieux de sa silhouette ou de sa santé, on se laisse facilement entraîner par le tourbillon des grandes vérités qui se contredisent au fil des études.

On se rassure en nourrissant notre esprit, pensant ainsi être capable de bien nourrir notre corps, sauf que ça
devient vite la cacophonie et l’inverse se produit : on n’écoute plus du tout notre corps !


C’est ainsi qu’on se retrouve à prendre un petit-déj sans faim parce qu’on nous dit depuis toujours que c’est « le repas le plus important de la journée »
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Par ailleurs, quand on a souffert d’anorexie, notre esprit reste parfois longtemps marqué par le souvenir de la privation. On mange parce que notre corps a faim, certes, mais aussi par peur – inconsciente- du manque

Pour entendre cette faim de l’esprit, reste conscient de tes pensées face à la nourriture, observe les voix qui se
contredisent et essaye de les identifier.

Qui parle ? La tête ? Le corps ? Le coeur ?

L’esprit a réellement besoin d’être nourri, et ses aliments préférés sont le calme et la présence à soi

La faim du coeur

Nous arrivons au bout de cette exploration des différents types de faim avec celle du COEUR⁠♥️
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On connaît tous l’alimentation émotionnelle que l’on présente partout comme Voldemort 🧟
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Pourtant manger est émotionnel, la vie est émotionnelle

Les émotions c’est la vie !!

On galère juste un peu à les ressentir et à les exprimer⁠🤷‍♀️
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Ce n’est ni grave ni anormal de manger de manière émotionnelle. Ce qui est problématique c’est manger pour changer une émotion (insécurité, stress, déception, irritabilité, tristesse, frustration… ).

Quand cette stratégie est récurrente, elle sabote toute possibilité d’avancer
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Nous ne sommes pas à l’aise avec la souffrance mais elle fait pourtant partie de la vie humaine.

Alors plutôt que d’étouffer nos inconforts sous la nourriture, ouvrons notre cœur !😍
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Si un aliment te fais vraiment envie mais que tu sais très bien que ce n’est ni ton estomac ni tes cellules qu’il va satisfaire, mange-le en absorbant, avec tous tes sens, l’énergie vitale qu’il contient et qui va venir nourrir ton cœur⁠💗
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Même si c’est un Kinder Surprise qui n’est ni un produit de Mère nature ni une douceur préparée par Mamie, c’est l’aliment que ton cœur a choisi pour des raisons qui lui appartiennent, liées à des souvenirs heureux, à des sensations que tu as besoin d’éprouver, ici et maintenant⁠
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La faim du cœur est celle de notre enfance, liée à la sécurité, au réconfort, aux repas familiaux, aux vacances chez les grands-parents, au bien-être
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Bien souvent, lors de ces « craquages » la solitude nous accable. C’est là qu’il faut se souvenir que nous ne sommes jamais seuls si nous restons connectés à notre cœur. Conscient d’appartenir à un grand tout, conscient d’avoir notre place sur Terre, source infinie d’amour et d’abondance 🤗
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Nourrir le cœur se fait tous les jours, avec ou sans nourriture

Dès qu’on met de la conscience dans n os actes, on peut trouver comment apaiser nos pensées⁠
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Si tu devais choisir un aliment-doudou, ta petite madeleine de Proust, lequel serait-ce ?⁠
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😘🥰☀️

Nos 9 faims sont 9 super pouvoirs si on sait les identifier, les reconnaître, les écouter pour pouvoir les combler. Répondre à nos faims spécifiques demande de sortir du mode « pilotage automatique » et de remettre de la conscience dans nos vies. De cette façon, nous sommes capables de répondre aux besoins de notre corps, sans pour autant tomber dans le contrôle ou la restriction.

Aucune faim n’est « supérieure » ou plus « légitime » que l’autre.

C’esty tout à fait ok de répondre à notre faim de yeux ou du nez qu’on aurait tendance à rapprocher de la gourmandise. La gourmandise n’est pas un péché mais un plaisir ! Une vertu qui nous permet de jouir de la vie et de nos sens !

Ce que nous sommes invités à faire, c’est prendre conscience que c’est cette faim sensorielle, gourmande ou de réconfort que nous satisfaisons afin de la combler pleinement sans outrepasser notre appétit, sans nous remplir plus que nécessaire jusqu’à la douleur

Si tout cela te parle et que tu aimerais aller plus loin dans cette belle découverte des sens et de tes faims, tu peux me contacter pour que nous puissions échanger à ce sujet et voir comment je peux t’aider

En attendant, n’oublie pas de savourer la vie en conscience et de ne pas attendre d’être confronté à la nourriture pour explorer ta sensorialité

Avec Amour et Espoir,

Emma


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